Le Bélarus ne dispose pas de représentation diplomatique au Nigeria et a demandé à la Russie de négocier la libération de sa ressortissante.
Cette dernière a été enlevée par des hommes armées samedi à Port-Harcourt, la ‘capitale’ pétrolière du sud du Nigeria.
La Bélarusse, enlevée samedi par des hommes armés au Nigeria, est « vivante » et ses ravisseurs réclament 1,2 million de dollars pour sa libération, a déclaré lundi un conseiller de l’ambassade de Russie à Lagos, cité par l’agence Ria Novosti.
Les kidnappeurs ont exigé 1,2 million de dollars de rançon pour la libération de la ressortissante bélarusse. Les bandits n’ont pas encore présenté d’autres revendications.
La Bélarusse, Irina de son prénom, « est vivante et son état, à l’heure actuelle, est satisfaisant », a ajouté M. Gontcharov, précisant qu’il tenait ses informations de l’entreprise britannique « Compass Group » pour laquelle Irina travaille.
Le Bélarus ne dispose pas de représentation diplomatique au Nigeria et a demandé à la Russie de négocier la libération de sa ressortissante.
Cette dernière a été enlevée par des hommes armées samedi à Port-Harcourt, la « capitale » pétrolière du sud du Nigeria.
Au total, 27 étrangers dont un directeur général du groupe sud-coréen Daewoo, ont été enlevés depuis le 1er mai dans le sud du Nigeria.
Le Mouvement pour l’émancipation du delta du Niger (MEND), principal mouvement séparatiste de la région, avait revendiqué mardi le rapt de six étrangers — quatre Italiens, un Américain et un Croate — sur une plate-forme pétrolière du géant américain Chevron dans l’Etat de Bayelsa.
Les séparatistes avaient libéré jeudi huit otages enlevés lors d’une attaque le matin même contre une plate-forme pétrolière de la compagnie italienne Agip/ENI, à 90 km des côtes au large de Port Harcourt.
Ces groupes n’enlèvent généralement pas de femmes.
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